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Marc Albert

Marc Albert

Marc Albert, a graduate from the Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, opened a ceramic workshop over 10 years ago after spending time at the Institut de la Céramique Française in Sèvres.

His work focuses on the art of the table with collections in stoneware and bespoke porcelain pieces. He is also developing a line of lights and has recently begun to design installations, paintings and fountains. He creates tableware for the spa of Anne Fontaine rue st Honorée, the Crayon hotel, photophores for the Continental hotel in Tahiti, and hanging lamps for the Goéland hotel in Porto Vecchio.

 
Participated in the school:
Where the dandelions … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Marc Albert, diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs a ouvert depuis plus de 10 ans un atelier de céramique après un passage à l’ Institut de la Céramique Française à Sèvres.

Son travail s’articule autour de l’art de la table avec des collections en grès et des pièces uniques en porcelaine. Il développe aussi une ligne de luminaires et propose depuis peu des installations, tableaux, claustras et fontaines. Il crée la vaisselle du spa de Anne Fontaine rue St Honoré, la vaisselle du petit déjeuner de l’hôtel Crayon, les photophores de l’hôtel Continental à Tahiti, ainsi que des suspensions pour l’hôtel Goéland à Porto Vecchio.

 
A participé à l’école:
Là ou le pissenlit … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Miriam Austin

Miriam Austin

Miriam Austin is an artist currently based in London and Oxford, UK. She graduated from the Royal College of Art with an MA in Sculpture in 2012 and is currently studying towards a PhD in Fine Art at the Ruskin School of Art, University of Oxford.

Austin’s recent work explores the relationship between ritual, myth, ecological fragility, and the politics of the body. This investigation is centred around the development of sculpture, video and performance works that use material, formal and narrative constructs to explore subtle links between the gendered body, local mythology and environmental degradation.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
www.miriamaustin.co.uk

Miriam Austin est une artiste actuellement basée à Londres et à Oxford, au Royaume-Uni. Elle est diplômée du Royal College of Art avec une maîtrise en sculpture (2012) et prépare actuellement un doctorat en beaux-arts à la Ruskin School of Art de l’Université d’Oxford.

Le travail d’Austin explore la relation entre le rituel, le mythe, la fragilité écologique et la politique du corps. Cette enquête est centrée sur le développement d’œuvres (sculptures, vidéos et performances) qui utilisent des constructions matérielles, formelles et narratives pour explorer les liens subtils entre le corps genré, la mythologie locale et la dégradation de l’environnement.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
www.miriamaustin.co.uk

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Louis Baguenault

Louis Baguenault

Louis Baguenault started his career as a gardener before entering the École des Beaux Arts de Clermont-Ferrand and then transferring to the École des Beaux Arts in Toulouse where he completed his studies. He holds a Masters degree at the Ecole Nationale Superieure des paysages in Versailles.

As an artist he developed a performative practice taking the form of artist talks and conferences that he refers to as “presentation”. Acting as a commentator, he develops narrations composed of ideas referencing art, philosophy, masonry, all spontaneously ordered, allowing the conversation to emerge and respond to the present moment.

His is the Laureat /Committee member of the 65th edition of Jeune Création – 104 art space, Paris (2014).

Exhibitions includes Détripotage, solo presentation and residency at OÙ, Marseille (2014); São João Residency, Rio de Janeiro, Brazil (2014); Ce qui fait notre corps – Comparer les deux cultures à travers “les Marchés” et “les nourritures”, ENSBA, Paris (2013); Concerning the risk – Gallerie Jeune création and the 57th Festival of Montrouge.

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Louis Baguenault a commencé sa carrière comme jardinier avant d’entrer à l’École des Beaux Arts de Clermont-Ferrand puis de passer à l’École des Beaux Arts de Toulouse où il a terminé ses études. Il est titulaire d’un Master à l’Ecole Nationale Supérieure des Paysages de Versailles.

En tant qu’artiste, il a développé une pratique performative prenant la forme de causeries et de conférences d’artistes qu’il qualifie de «présentation». Agissant en tant que commentateur, il développe des narrations composées d’idées faisant référence à l’art, à la philosophie, à la maçonnerie, toutes ordonnées spontanément, permettant à la conversation d’émerger et de répondre au moment présent.

Il est Lauréat/Membre du Comité de la 65e édition de Jeune Création – 104 art space, Paris (2014).

Il a exposé lors de Détripotage, présentation solo et résidence à OÙ, Marseille (2014); São João Residency, Rio de Janeiro, Brésil (2014); Ce qui fait notre corps – Comparer les deux cultures à travers «les Marchés» et «les nourritures» , ENSBA, Paris (2013); Concernant le risque, Galerie Jeune création et le 57e Festival de Montrouge.

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

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Léa Collet

Léa Collet

Léa Collet’s (b. Lyon 1989) lives and works in London, Paris, Roubaix & London. Her work vacillates between performance, installations, video, research and teaching. She introduces landscapes and subjects that investigate social relations and augmented affect experienced in and through digital mediation and technological collaboration. Her practice (both through making and sharing) emphasises collective experimentation and emotional symbiosis. 

Léa Collet trained at Camberwell College of Arts, London at BA level followed by an MA at Slade School of Fine Art, London. In 2020 she joined the Art and Technology university research group EUR ArTec based in Paris. In 2019, she was awarded the “Peer Forum 2020” an annual program to support artists by providing them with the funding, space and resources to create their own mentoring groups organised by Artquest in collaboration with the Camden Arts Center. In September 2021, she will be joining Le Fresnoy, Studio national des arts contemporains a two-year program for artistic, audiovisual and digital training, production and distribution.

 
Participated in the school:
Where the dandelions … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Née à Lyon en 1989 Léa Collet vit et travaille entre Londres, Paris, Roubaix et Londres. Son travail artistique oscille entre performance, installations, vidéo, recherche et enseignement. Elle présente des paysages et des sujets qui étudient les relations sociales et les affects augmentés expérimentés dans et par la médiation numérique et la collaboration technologique. Sa pratique (à la fois par la création et le partage) met l’accent sur l’expérimentation collective et la symbiose émotionnelle. 

Léa Collet a suivi une formation de niveau licence au Camberwell College of Arts de Londres, puis une maîtrise à la Slade School of Fine Art de Londres. En 2020, elle rejoint le groupe de recherche universitaire Art et Technologie l’EUR ArTec basé à Paris. En 2019, elle reçoit le «Peer Forum 2020», un programme annuel visant à soutenir les artistes en leur fournissant le financement, l’espace et les ressources nécessaires pour créer leurs propres groupes de mentorat, organisé par Artquest en collaboration avec le Camden Arts Centre. En septembre 2021, elle rejoint Le Fresnoy, Studio national des arts contemporains, un programme de deux ans pour la formation, la production et la distribution artistique, audiovisuelle et numérique.

 
A participé à l’école:
Là ou le pissenlit … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Elodie Correira

Elodie Correira

Elodie Correia was born in Argenteuil. She studied graphic design at l’ESAD Amiens in Picardie. After graduation she settled in Paris as a freelance graphic designer.

She has practiced contemporary dance since childhood and is very interested in every dance’s form and develops projects mixing digital art and dance. Her interest in dance lead her to new research around body and space.

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Elodie Correia est née à Argenteuil. Elle a étudié le graphisme à l’ESAD Amiens en Picardie. Après l’obtention de son diplôme, elle s’installe à Paris en tant que graphiste indépendante.

Elle pratique la danse contemporaine depuis l’enfance et s’intéresse à toutes les formes de danse et développe des projets mêlant art numérique et danse. Son intérêt pour la danse l’amène à de nouvelles recherches autour du corps et de l’espace.

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

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Simin Eivazi

Simin Eivazi

Simin Eivazi is an Iranian born American feminist writer, ceramicist, visual and performance artist currently living and working between France and the UK. She obtained her BFA in sculpture with an emphasis in performance at California College of the Arts in San Francisco and completed her MA in art and politics at Goldsmiths, University of London, as a Jack Kent Cooke scholar.

Her work has been exhibited in the US and UK including at the Victoria and Albert Museum in London and Royal Albert Memorial Museum in Exeter. Her upcoming publication includes a series of short stories in Persian as part of a collaborative project led by the prominent Iranian writer, Shahrnush Parsipur.

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.blueroom.studio

Simin Eivazi est une écrivaine féministe américaine d’origine iranienne, céramiste, artiste visuelle et performeuse vivant et travaillant actuellement entre la France et le Royaume-Uni. Elle a obtenu son BFA en sculpture avec spécialisation en performance au California College of the Arts de San Francisco et a complété sa maîtrise en art et politique à Goldsmiths, University of London, en tant que boursier Jack Kent Cooke.

Son travail a été exposé aux États-Unis et au Royaume-Uni, notamment au Victoria and Albert Museum de Londres et au Royal Albert Memorial Museum d’Exeter. Sa publication à venir comprend une série de nouvelles en persan dans le cadre d’un projet collaboratif dirigé par l’éminent écrivain iranien Shahrnush Parsipur.

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.blueroom.studio

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Harriet Foster

Harriet Foster

Harriet Foyster is an artist and writer. Her work operates as a series of ongoing studies into the behavioural and emotional implications of neoliberal capitalism on the subject as understood via its structural role as the worker. Her research culminates in moving image, textual collage, essay and performance to think through the relationships between labour, language and subjectivity after these are processed through the mechanisms and logics of private property.

Currently her key focus is the counterrevolutionary nature of home improvement and the conflation of desire with property in the interior, uncovering a projected symbiosis between dweller and dwelling.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
www.harrietfoyster.com

Harriet Foyster est artiste et écrivaine. Son travail se présente comme une série d’études en cours sur les implications comportementales et émotionnelles du capitalisme néolibéral sur le sujet via son rôle structurel en tant que travailleur. Ses recherches culminent dans l’image en mouvement, le collage textuel, l’essai et la performance pour réfléchir aux relations entre le travail, le langage et la subjectivité après que ceux-ci soient transformés par les mécanismes et les logiques de la propriété privée.

Actuellement, elle se concentre principalement sur la nature contre-révolutionnaire de l’amélioration de l’habitat et la confusion entre le désir et la possession dans les intérieurs, découvrant la symbiose projetée entre l’habitant et l’habitation.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
www.harrietfoyster.com

Anna Frijstein

Anna Frijstein

Anna Frijstein’s practice includes performance, painting, drawing, video, flirts with the digital and sculptural installation often executed in a candid childlike manner. Beneath the playful naivety lies an unsettling layer of dark humour that confronts suppressed feelings around current socio-psychological, political and ecological issues.

Interested in performance, play and pedagogy, Frijstein often aims to teach herself and others how to think and act less human-centred. Alongside her studio practice, she works on interdisciplinary projects alongside scientists, ecologists and local communities to learn from, share and collaborate with.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
Instagram

La pratique d’Anna Frijstein comprend la performance, la peinture, le dessin, la vidéo, flirte avec l’installation numérique et sculpturale, souvent exécutée de manière candide et enfantine. Sous la naïveté ludique se cache une couche troublante d’humour noir qui confronte les sentiments réprimés autour des problèmes socio-psychologiques, politiques et écologiques actuels.

Intéressée par la performance, le jeu et la pédagogie, Frijstein vise souvent à apprendre, en même temps qu’elle enseigne à d’autres, à penser et à agir de manière moins humano-centrée. Parallèlement à sa pratique en studio, elle travaille sur des projets interdisciplinaires aux côtés de scientifiques, d’écologistes et de communautés locales pour apprendre à partager et à collaborer.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
Instagram

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Jérémy Glâtre

Jérémy Glâtre

Jérémy Glâtre is an independent graphic designer based in Paris, who aims to work in close collaboration with enthusiastic people, artists, publishers and institutions. With an editorial and rigorous approach, his practice ranges from book design to visual identities, websites and other printed matter.

 
www.jeremy-glatre.com

Jérémy Glâtre est un graphiste indépendant basé à Paris, qui cherche à travailler en étroite collaboration avec des personnes enthousiastes, des artistes, des éditeurs et des institutions. Avec une approche éditoriale et rigoureuse, sa pratique s'étend de la conception de livres aux identités visuelles, sites web et autres imprimés.

 
www.jeremy-glatre.com

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Charles Harrison

Charles Harrison

Charles Harrison’s practice reimagines and remodels common scenarios, effects, objects and experiences. Works are usually poorly fabricated and often placed within unsuspecting public environments, both offline and online.

Charles graduated with a BA in Painting from University of Northampton in 2007. He has exhibited with Jupiter Woods, London, Lifespace, Dundee, Neue Froth Kunsthalle, Brighton and recently completed residencies with Wellcome Collection and Barbican Centre, London.

His artistic methods and conceptual understanding have been shaped through collaborations with artists, curators, social scientists, neuropsychologists, motor-neuroscientists and people with rare dementias.

These collaborations have particularly focussed on the historical development, values and deficiencies of standardised testing methods and have led to novel social science and arts and health research funded by Wellcome Trust, University College London and the Economic and Social Research Council.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
www.sandmanmattresses.com

La pratique de Charles Harrison imagine et remodèle des scénarios, des effets, des objets et des expériences communes. Les œuvres sont généralement mal fabriquées et souvent placées dans des environnements publics sans méfiance, à la fois hors ligne et en ligne.

Charles a obtenu un bachelord en peinture de l’Université de Northampton en 2007. Il a exposé à Jupiter Woods à Londres, Lifespace à Dundee, Neue Froth Kunsthalle à Brighton et a récemment terminé une résidence avec la Wellcome Collection et le Barbican Center à Londres.

Ses méthodes artistiques et sa compréhension conceptuelle ont été façonnées par des collaborations avec des artistes, des conservateurs, des chercheurs en sciences sociales, des neuropsychologues, des neuroscientifiques moteurs et des personnes atteintes de démences rares.

Ces collaborations se sont concentrées sur le développement historique, les valeurs et les lacunes des méthodes de test standardisées et ont conduit à de nouvelles recherches en sciences sociales, en arts et en santé financées par la Wellcome Trust, University College London et l’Economic and Social Research Council.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
www.sandmanmattresses.com

Susannah E. Haslam

Susannah E. Haslam

Susannah Haslam is a tutor (research) in humanities at the Royal College of Art in London and a research fellow with Theatrum Mundi. She collaborates with Tom Clark via the research group adpe.

Her current research navigates the relationship between contemporary education and cultural institutions and infrastructures; queer and critical subjects, pedagogies, practices and environments; tertiary-level educational alternatives and expansions.

Susannah holds a PhD from the Royal College of Art, titled, After the Educational Turn— alternatives to the alternative art school, and an MA and BA in visual cultures from Goldsmiths, University of London.

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.rca.ac.uk

Susannah Haslam est professeure et chercheuse en sciences humaines au Royal College of Art de Londres et conduit une bourse d’étude avec le centre de recherche Theatrum Mundi. Elle collabore également avec Tom Clark via le groupe de recherche adpe.

Ses recherches récentes explorent la relation entre l’éducation contemporaine et les institutions et infrastructures culturelles; sujets, pédagogies, pratiques et environnements queer et critiques; alternatives et expansions de l’enseignement supérieur.

Susannah est titulaire d’un doctorat du Royal College of Art, intitulé After the Educational Turn – alternatives to the alternative art school, d’une maîtrise et d’un bachelord en cultures visuelles de Goldsmiths, Université de Londres.

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.rca.ac.uk

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Natalia Janula

Natalia Janula

Natalia Janula is a Polish artist living and working in London. Her work often consists of mixed media sculptures which employ a material vocabulary of humanoid silicone casts, latex photographic prints, CGI, digital drawing and other mediums.

Janula likes speculating on the natural environment, concept of functionality and the body often inspired by her research into anatomy, physiology, folklore, interspecies dynamics, intimacy and ritual oscillating mainly around female and hybrid protagonists. Final outcome forms an arrangement of fleshy bodily sculptural props, wereables, short films, performances and assembled landscapes.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
www.nataliajanula.com

Natalia Janula est une artiste polonaise vivant et travaillant à Londres. Son travail se compose souvent de sculptures en techniques mixtes qui utilisent un vocabulaire matériel de moulages en silicone humanoïde, d’impressions photographiques en latex, de CGI, de dessins numériques et d’autres médiums.

Janula aime spéculer sur l’environnement naturel, le concept de fonctionnalité et sur le corps souvent inspirée par ses recherches sur l’anatomie, la physiologie, le folklore, la dynamique interspécifique, l’intimité et le rituel, oscillant principalement autour de protagonistes féminins et hybrides. Le résultat final forme un agencement d’accessoires sculpturaux corporels et charnus, de vêtements ou d’accessoires connectés, de courts métrages, de performances et de paysages assemblés.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
www.nataliajanula.com

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Iris Lacoudre

Iris Lacoudre

Iris Lacoudre is an architect based in Paris. Since graduating from the School of Architecture of Marne-La-Vallée in 2012, she has been working in several architecture practices, in Tokyo (Atelier Bow Wow), Stockholm (Arrhov Frick), Paris (Bruther) and Berlin (LIN Finn Geipel).

She was awarded several grants from Iaspis, the Swedish Arts Grants Committee, and was a researcher at the Bauhaus Laboratory in 2014. She works within the fields of architecture, approaching scales, sites and program, with an equal attention. She is currently teaching at the School of Architecture of Marne-La-Vallée.

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.irislacoudre.com

Iris Lacoudre est une architecte basée à Paris. Diplômée de l’École d’architecture de Marne-La-Vallée en 2012, elle a travaillé dans plusieurs cabinets d’architecture, à Tokyo (Atelier Bow Wow), Stockholm (Arrhov Frick), Paris (Bruther) et Berlin (LIN Finn Geipel).

Elle a reçu plusieurs bourses de l’Iaspis, le comité suédois des bourses pour les arts, et a été chercheuse au laboratoire du Bauhaus en 2014. Elle travaille dans les domaines de l’architecture, abordant les échelles, les sites et les programmes, avec une égale attention. Elle enseigne actuellement à l’École d’architecture de Marne-La-Vallée.

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.irislacoudre.com

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Lou-Atessa Marcellin

Lou-Atessa Marcellin

Lou-Atessa Marcellin is a cultural producer researching ideas of ecosophy in the ecological framework which interconnects social and environmental spheres.

With a background in fine art, a graduate of the Royal College of Art (MA Performance) and UAL Camberwell College of Art (BA Photography), she founded the multidisciplinary research platform Diaspore. She is working for the research organisation Theatrum Mundi and has been a visiting lecturer for UAL, the Royal College of Art, The Slade and Goldsmith University in London.

 
Participated in the school:
Where the dandelions … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.diaspore.org

Lou-Atessa Marcellin est une productrice culturelle qui recherche des idées d’écosophie dans le cadre écologique qui relie les sphères sociales et environnementales.

Avec une formation en beaux-arts, diplômée du Royal College of Art (MA Performance) et de l’UAL Camberwell College of Art (BA Photography), elle a fondé la plateforme de recherche multidisciplinaire Diaspore. Elle travaille pour le laboratoire de recherche Theatrum Mundi et a été conférencière invitée pour l’UAL, le Royal College of Art, la Slade et la Goldsmith University de Londres.

 
A participé à l’école:
Là ou le pissenlit … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.diaspore.org

Girolamo Marri

Girolamo Marri

Girolamo Marri has lived throughout Europe, Asia and America for over fifteen years before coming back to his hometown of Rome, Italy, where he now resides and works. He has exhibited his work internationally; among others Matts Gallery, The Showroom, Firstsite and Bosse & Baum in the UK, NASA/SMART Project Space and Walden Affairs in the Netherlands, Pierogi in the USA, BANK, V-art Center, Shanghai Gallery of Art and OV Gallery in China, Galleria Comunale di Arte Moderna, Una Vetrina, I.U.A.V. and MAXXI in Italy.

His diverse practice stems from live performances which generate installations, audiovisual projects, texts and painting and is centered on an incongruous use of language, humor and the absurd.

 
Participated in the school:
Where the dandelions … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
Tumblr

Girolamo Marri a vécu en Europe, en Asie et en Amérique pendant quinze ans, avant de revenir dans sa ville natale de Rome, en Italie, où il réside et travaille actuellement. Il a exposé son travail à l’international, entre autres à la Matts Gallery, The Showroom, Firstsite et Bosse & Baum au Royaume-Uni, NASA/SMART Project Space et Walden Affairs aux Pays-bas, Pierogi aux Etats-Unis, BANK, V-art Center, Shanghai Gallery of Art et OV Gallery en Chine, Galleria Comunale di Arte Moderna, Una Vetrina, I.U.A.V. et MAXXI en Italie.

Sa pratique se développe aux travers de performances live qui sont à l’origine d’installations, de projets audiovisuels, de textes et de peintures centrés sur une utilisation incongrue du langage, de l’humour et de l’absurde.

 
A participé à l’école:
Là ou le pissenlit … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
Tumblr

Paquita Milville

Paquita Milville

Since 2018, Paquita Milville has been developing an artistic practice mixing different types of projects (surveys, devices, workshops, editions, furniture…) linked to the territory she occupies and the inhabitants who live there.

She created Semis – lieu de fabrication, anchored in Berny-Rivière, a village in the Aisne, in the south of the Hauts-de-France region.

 
Participated in the school:
Where the dandelions … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.semiiis.org

Depuis 2018, Paquita Milville développe une pratique artistique mêlant différents types de projets (enquêtes, dispositifs, ateliers, éditions, mobilier…) liés au territoire qu’elle occupe et aux habitants qui y vivent.

Elle crée Semis – lieu de fabrication, ancré à Berny-Rivière, village de l’Aisne, dans le Sud de la région des Hauts-de-France.

 
A participé à l’école:
Là ou le pissenlit … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
www.semiiis.org

Valentine Milville

Valentine Milville

Valentine Milville is a screenwriter, who graduated in 2009 from the CEEA (Conservatoire européen d’écriture audiovisuelle). She co-wrotes the show Crime Time (4×52’ studio+) Fipa d’or for screenplay 2018 with José Caltagirone and also created with him Speakerine (6×52’) broadcasted in 2018 on France 2. She regularly takes part  in writing workshops (Guyane, Le Bureau des Légendes – season 5).

In 2021, she worked for the show adaptation of Anima written by Wajdi Mouawad for Arte (Les films du Bal / Atlantique prod) and is currently developing (2022) a new show, La Maison (10×52), with José Caltagirone for a streaming platform produced by The Oligarchs production.

She is also writing for movies and has collaborated on the writing Mignonnes directed by Maïmouna Doucouré ( 2019) and is currently writing for Héléna Klotz’ next movie produced by Les films du bélier.

 
Participated in the school:
Where the dandelions … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Valentine Milville est scénariste, diplômée du CEEA (Conservatoire européen d’écriture audiovisuelle) en 2009. Elle a coécrit la série Crime Time (4x52’ studio+) Fipa d’or du scénario 2018 avec José Caltagirone et également crée avec lui Speakerine (6x52’) diffusée en 2018 sur France 2. Elle participe régulièrement à des ateliers d’écriture (Guyane, Le Bureau des Légendes – saison 5). 

En 2021, elle a travaillé à l’adaptation en série pour Arte d’Anima de Wajdi Mouawad (Les films du Bal / Atlantique prod) et développe en 2022 pour une plateforme La Maison une nouvelle série de 10x52’ avec José Caltagirone (The Oligarchs production).  

Elle écrit également pour le cinéma, et a notamment collaboré à l’écriture de Mignonnes de Maïmouna Doucouré ( 2019), elle co-écrit actuellement un long métrage d’Héléna Klotz pour Les films du Bélier.

 
A participé à l’école:
Là ou le pissenlit … , 2021 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Nicholas Morris

Nicholas Morris

Nicholas Morris is a Californian artist living and working in Grenoble, France. For the last two years he has conducted research at the Institut de Géographie Alpine as a candidate for a Masters degree in geography, planning, environment and development, specializing in innovation and territory, researching the capacity of socially engaged art practices to re-imagine and transform politics, planning and territorial development.

His artistic works often take the form of pedagogical and building collaborations. He has organized projects in the U.S., U.K., India and France and has been the recipient of the Wornick Scholarship for excellence in woodworking and the IMPACT social entrepreneurship award from the Center for Art and Public Life in Oakland, California.

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

Nicholas Morris est un artiste californien vivant et travaillant à Grenoble, France. Depuis deux ans, il mène des recherches à l’Institut de Géographie Alpine en tant que candidat au Master en géographie, aménagement, environnement et développement, spécialité innovation et territoire, sur la capacité des pratiques artistiques engagées à ré-imaginer et transformer les politiques d’aménagement et de développement territorial.

Ses travaux artistiques prennent souvent la forme de collaborations pédagogiques et constructives. Il a organisé des projets aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Inde et en France et a reçu la bourse Wornick pour l’excellence du travail du bois et le prix IMPACT de l’entrepreneuriat social du Center for Art and Public Life à Oakland, en Californie.

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 

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Charles Pryor

Charles Pryor

Charles Pryor is an artist and environmental researcher that works across collaborative formats including film, performance and text. Pryor’s practice specifically addresses ecosystem remediation and emergent ecologies in anthropogenic times, through creating effective alliances across art, science, pedagogy and ecology.

Pryor has previously taught permaculture workshops at unMonastery in Kokkinopilos (Greece, 2017), Goldsmiths University (London, 2017), as well as working alongside Cityplot (Berlin, 2017). Exhibitions include Conditions for Ongoingness at Jupiter Woods (London, 2018), Feral Kin at Auto Italia South East (London, 2017), Infrastructure/Residence at Jupiter Woods (London, 2015). Residencies include, Saari Residence (Finland, 2016) and Serving Suggestions at Outpost Gallery (Norwich, 2015).

Charles Pryor holds a postgraduate degree in Climate Change and International Development at the University of East Anglia (Norwich UK).

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
linkedin

Charles Pryor est un artiste et chercheur en environnement qui travaille sur des formats collaboratifs tels que le film, la performance et le texte. La pratique de Pryor aborde spécifiquement la remédiation des écosystèmes et les écologies émergentes à l’époque anthropique, en créant des alliances efficaces entre l’art, la science, la pédagogie et l’écologie.

Pryor a déjà enseigné des ateliers de permaculture à unMonastery à Kokkinopilos (Grèce, 2017), Goldsmiths University (Londres, 2017), ainsi qu’aux côtés de Cityplot (Berlin, 2017). Il a exposé à Conditions for Ongoingness à Jupiter Woods (Londres, 2018), Feral Kin à Auto Italia South East (Londres, 2017), Infrastructure/Residence à Jupiter Woods (Londres, 2015). Les résidences incluent Saari Residence (Finlande, 2016) et Serving Suggestions à Outpost Gallery (Norwich, 2015).

Charles Pryor est titulaire d’un diplôme de troisième cycle en changement climatique et développement international de l’Université d’East Anglia (Norwich, Royaume-Uni).

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
linkedin

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Ariane Schick

Ariane Schick

Ariane Schick is a London based artist. She graduated from the Beaux-Arts in Paris and the Royal Academy Schools in London. Her work explores social experiences, hierarchies and organisation. Through a varied practice her work activates muscle memory and engages the viewer’s emotions.

Her solo show 20/20 Vision at Super Dakota in 2021 was a site-specific video installation and sculptural readymades. The work re-edited existing objects and images to upend notions of methodical order and systems of meaning and value. The temporary set ups were created by elimination, pushing for ways of rethinking by building pasts, fabricating a now and looking forward.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
www.superdakota.com

Ariane Schick vit et travail à Londres. Elle a étudié aux Beaux-Arts de Paris et à la Royal Academy Schools de Londres. Son travail se tourne vers les expériences sociales, les hiérarchies et l’organisation et cherche à activer autant les réflexes que les émotions de celui ou celle qui regarde.

Son installation 20/20 Vision à Super Dakota en 2021 montrait une vidéo et des sculptures-bricolages. Ce travail rééditait des objets et des images existants afin de retourner les notions d’ordre et les systèmes de valeur et de sens. Les agencements temporaires de l’installation étaient créés par élimination, avançants des manières nouvelles de penser en reconstruisant des passés, des nouveaux présents et un regard vers l’avenir.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
www.superdakota.com

Katie Simpson

Katie Simpson

Katie Simpson is a UK based curator and researcher. Her research investigates socio-political and economic concerns that affect the production of and accessibility to art, questioning hierarchies of culture through archival research, and thinking through feminist approaches to collaborative curatorial practice.

She graduated with an MFA in Curating from Goldsmiths College in 2018 and has since held the position of Co-Director at not-for-profit art organisation Jupiter Woods, London. She completed the Young Curators Residency Programme at the Fondazione Sandretto Re Rebaudengo (Italy) in 2020 and a Curatorial Fellowship at Goldsmiths Centre for Contemporary Art (London) in 2019. From 2014-2016, she was initiator and curator of a ten-month exhibition program, The Koop Project and Gallery Manager at Neue Froth Kunsthalle both Brighton, UK.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
www.jupiterwoods.com

Katie Simpson est une conservatrice et chercheuse basée au Royaume-Uni. Ses recherches portent sur les préoccupations sociopolitiques et économiques qui affectent la production et l’accessibilité de l’art, elle remet en question les hiérarchies culturelles à travers la recherche archivistique ainsi qu’en réfléchissant aux approches féministes et collaboratives de la pratique de conservation.

Elle a obtenu un MFA en curating du Goldsmiths College en 2018 et a depuis occupé le poste de co-directrice de l’organisation artistique à but non lucratif Jupiter Woods, à Londres. Elle a complété le Young Curators Residency Program à la Fondazione Sandretto Re Rebaudengo (Italie) en 2020 et une Curatorial Fellowship au Goldsmiths Center for Contemporary Art (Londres) en 2019. Entre 2014 et 2016, elle a été l’initiatrice et commissaire d’un programme d’expositions de dix mois à The Koop Project et a été responsable de galerie au Neue Froth Kunsthalle à Brighton, Royaume-Uni.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
www.jupiterwoods.com

Camille Sineau

Camille Sineau

Camille Sineau is an architect currently based in Scotland. During the course of his studies, he concluded an exchange BA at the Accademia di Architettura di Mendrisio (2009). He also worked for Go Hasegawa in Tokyo (2010) and Jean-Christophe Quinton in Paris (2008). He then graduated from the Master Theory and Project led by Jacques Lucan, in Paris (2012).

After graduation, Camille worked for Adam Khan Architects in London over 3 years, where he became an associate (2012-2015). There, he has been leading and collaborating on a broad range of projects in Europe, from private to collective and social housing.

In 2015, he went to Sweden to focus on research and personal practice. Together with Tristan Zelic and Iris Lacoudre, he organised a self-initiated architecture residency for experimenting with the possibility of an immersive practice for the conception of a house in Dalarna, Sweden (2016).

Camille has undergone a Master Research at the University of Aberdeen affiliated to the project Knowing From the Inside led by Tim Ingold (2016-2018). He is exploring other ways of practicing architecture with anthropology, focussing on dwelling and inhabitation practices. He is also engaged in local activities with a number of small institutions in North-East Scotland, such as Deveron Projects, where he worked as an assistant gardener in The Town Is The Garden.

He is also a recent member of Peacock Visual Arts Associates, a year long collaborative curatorial practice in Aberdeen and is developing numerous projects between Scotland and France.

 
Participated in the school:
The limit, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
Linkedin

Camille Sineau est architecte. Au cours de ses études, il a conclu un échange BA à l’Accademia di Architettura di Mendrisio (2009). Il a également travaillé pour Go Hasegawa à Tokyo (2010) et Jean-Christophe Quinton à Paris (2008). Il a ensuite été diplômé du Master Théorie et Projet dirigé par Jacques Lucan, à Paris (2012).

Après l’obtention de son diplôme, Camille a travaillé pour Adam Khan Architects à Londres pendant trois ans, où il est devenu associé (2012-2015). Là, il a dirigé et collaboré sur un large éventail de projets en Europe, du logement privé au logement collectif et social.

En 2015, il se rend en Suède pour se concentrer sur la recherche et sa pratique personnelle. Avec Tristan Zelic et Iris Lacoudre, il a organisé une résidence d’architecture auto-initiée pour expérimenter la possibilité d’une pratique immersive pour la conception d’une maison à Dalarna, Suède (2016).

Camille a suivit un Master de Recherche à l’Université d’Aberdeen en Écosse, affilié au projet Knowing From the Inside dirigé par Tim Ingold (2016-2018). Il explore d’autres manières de pratiquer l’architecture avec l’anthropologie, en se concentrant sur les pratiques d’habitation et d’inhabitation. Il s’est également engagé dans des activités locales avec un certain nombre de petites institutions dans le nord-est de l’Écosse, tels que Deveron Projects, où il a travaillé comme assistant jardinier dans The Town Is The Garden.

Il est également un membre récent de Peacock Visual Arts Associates, une pratique de conservation collaborative d’un an à Aberdeen et développe de nombreux projets entre l’Ecosse et la France.

 
A participé à l’école:
La limite, 2018 (Semis – LDF, Berny-Rivière) 
Linkedin

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Theo Turpin

Theo Turpin

Theo Turpin is an artist whose practice revolves around the production of installations exploring how language, narrative and romance combine to make ideal and idealised space.

He lives and works in London where he completed his undergraduate studies at Camberwell College of Arts in 2008 and a masters in Fine Art at Goldsmiths College in 2017. Between 2012 and 2013 he was artist in residence at Palais De Tokyo where he realised numerous works including a solo presentation. Between 2015 and 2016 Theo undertook residencies at The Embassy of Foreign Artists, Ministry for culture, Geneva as well as taking part in the summer school of the ICA Moscow. He has exhibited widely at, amongst others, Palais De Tokyo, Manifesta 13, the Biennale D’Anglet,The Forgotten Bar in Berlin and DKUK, Auto Italia, Tenderpixel and Bold Tendencies in London.

His work can be found in magazines and publications such as Beaux Arts, Palais and Twin and he has just published his first book entitled ‘Into the Night’, a collection of short stories by himself and invited participants, published by Atlas Projectos.

 
Participated in the school:
The Domestic Landscape, 2019 (Jupiter Woods, London)
www.theoturpin.com

Theo Turpin est un artiste dont la pratique s’articule autour de la production d’installations explorants comment le langage, la narration et la romance se combinent pour créer un espace idéal et idéalisé.

Il vit et travaille à Londres où il a terminé ses études de premier cycle au Camberwell College of Arts en 2008 et une maîtrise en beaux-arts au Goldsmiths College en 2017. Entre 2012 et 2013, il a été artiste en résidence au Palais De Tokyo où il a réalisé de nombreuses œuvres dont une présentation en solo. Entre 2015 et 2016, Theo a effectué des résidences à l’Embassy of Foreign Artists, Ministère de la Culture, Genève ainsi qu’une participation à l’école d’été de l’ICA Moscou. Il a largement exposé, entre autres, au Palais De Tokyo, Manifesta 13, la Biennale d’Anglet, The Forgotten Bar à Berlin et DKUK, Auto Italia, Tenderpixel et Bold Tendencies à Londres.

Son travail peut être trouvé dans des magazines et des publications telles que Beaux Arts, Palais et Twin et il vient de publier son premier livre intitulé "Into the Night", un recueil de nouvelles écrites par lui-même et par des participants invités, publié par Atlas Projectos.

 
A participé à l’école:
Le paysage domestique, 2019 (Jupiter Woods, Londres)
www.theoturpin.com

 

 

 

 

 

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